Je pleure dans les soirées remplies de péché
Des murs silencieux qui m'essuient les yeux
A ces beaux chevaux galopants
Faucheuse jette un lasso
Homme, toucher, femme, joue
Pas rouge, mais dommage
Ils l'habillent d'une chemise sans col
Ce jour-là, les yeux sont cousus et deviennent jaunes.
Puis les lignes de rimes apparaissent
Il joue toujours "Misérables" quand la pleine lune tombe
Amants enchantés à la caravane
Les morts sortent de cette porte du monde.
Semsettin OZKAN (1996 / KONYA)
Les beaux chevaux dans le poème représentent l’ego corné de l’homme.
la femme est l’âme de l’inconnu, le souffle du connu.